Eva Wissenz
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Fluxus

Acheter ce livre

Pour voir les choses autrement, il faut accepter de prendre le risque de changer de regard

J’ai écris ce livre parce que j’en avais assez de la masse de préjugés en libre circulation au sujet "des Africains". J’ai écris ce livre pour corriger la vision étroite que l’Occident porte généralement sur l’Afrique, à savoir une terre à exploiter et à plaindre sans fin.

En moi, l’Afrique est une trace, pas plus. Je ne suis pas Noire, je ne me prends pas pour une Noire non plus. Je suis une Blanche qui conserve des traces profondes de ce continent et de la façon dont certaines de ses expressions artistiques m’ont touchées. Je pense au Blues, au Jazz, aux Livres, à Toni Morrison, Ella, Billie, Nina, Maya Angelou, la Kora de "New Ancient String", ma découverte de Soundiata Keita à plus de 25 ans, dont je n’avais jamais rencontré le nom à l’école, et aux créations de Ife. Et puis aussi à mes copains Soum et Sadio, et nos échanges pas loin de la Gare de l’Est, à mon amie Joan qui cuit son pain avec le soleil au Kenya, mais c’est une autre histoire.

Je n’aime ni les étiquettes ni les regards figés parce que ce sont ces façons de voir qui enferment et qui bloquent les avancées. Alors, j’ai écris « Fluxus » pour dire aux miens que le futur de toute l’humanité est en Afrique et de ça je suis certaine. C’est un livre d’amour de la vie et il se trouve que l’Afrique est bien vivante.

Ainsi cette épopée raconte la mise en place puis l’effondrement de la civilisation de Fluxus basée sur un excès de stockage et un rapport faussé à la nature. Ce qui s’en suit se passe ensuite non loin de Bandiagara, au Mali, en pays Dogon, où un autre futur semble possible pour une humanité ayant retrouvé son bon sens.

Et puisque l’écologie n’est qu’une manière de dire que tout est lié dans le vivant, on rencontrera tout au long de l’épopée divers personnages dont les histoires tissent la trame d’une histoire universelle... Un paysan d’autrefois, une prisonnière politique, un planteur d’arbres, un moine, des activistes, une conteuse, des "refusants", une maire ainsi que de jeunes marcheurs bien décidés à ne pas répéter les erreurs de leurs ancêtres... "Fluxus" c’est le récit de toute une humanité debout pour un autre futur, une civilisation du lien.

En 2006, Le Centre National du Livre a accordé une Bourse de Découverte à ce roman. La première auto-édition était intitulée "Les Enfants du siècle".

Format A5 (25x15mm) — 192 p. — 12 €

Avis de lecteurs :

Je vous remercie vivement de votre beau, très important livre, Les Enfants du siècle. (2e edition Fluxus) Amicalement.

Jean Ziegler, vice-président du Comité des droits de l’Homme des Nations-Unies, 1er nov. 2013

J’ai aimé Les enfants du siècle d’Eva Wissenz (2e édition Fluxus). Une science fiction détonante qui touche à l’espace temps avec l’audace nécessaire de voyager dans les siècles pour anticiper les probabilités de l’évolution du dogme de la techno-science et de l’urbanisation quand la simplicité naturelle contribue déjà au bonheur. Est-ce que la clé n’est pas simplement l’humilité, et la confiance ? Merci Eva pour ces écrits. Ton livre m’a rappelé Demain les chiens du maître Simak.

Boris Aubel, fondateur d’Etika Mondo, 11 septembre 2015

Merci et bravo, c’est vraiment bien écrit, et on ne s’ennuie pas une minute — après le premier chapitre, je l’ai dévoré, je n’arrivais plus à m’arrêter de lire et j’ai adoré ces changements de narrateurs. Je dis après le premier chapitre, car j’ai eu du mal au début avec tous les personnages, la généalogie. La fin est superbe, les témoignages des "sans nous". Ah, je me retrouve tellement !! Je me suis dit que cette fable il fallait que je la fasse voyager autour de moi ! Génialissime !

Léonie Ferry, 24 mars 2014

Acheter ce livre

Bon, c’est pas tendre, le début c’est vraiment un grand coup d’épée, très lucide, très dense, je me suis senti perdu, genre Philip K. Dick au Mali, mais j’avais confiance et j’ai accepté et alors là... waou... le festival d’espoir, de courage, d’envie de foncer dans des alternatives, d’explorer, de pas laisser Fluxus l’emporter... Génial !

Maxime Relland, 23 novembre 2015

J’ai beaucoup aimé Les enfants du siècle ("Fluxus") et particulièrement l’idée de revenir au début du développement et de remettre ainsi les pendules à l’heure, de réfléchir à comment tout a commencé. C’est un livre surprenant, riche en rencontres humaines qui tout en nous projetant dans le futur nous amène à nous interroger sur notre présent, sur ce qu’Eva Wissenz appelle très justement le monde d’hier, un monde absurde où les écarts et les inégalités règnent. Troublant comment ce livre extra-ordinaire nous donne à penser : sur notre planète, notre avancé dans le temps, l’écologie, l’humanité. Et comment nous en sommes arrivés là...

Angélique Boudet, 8 juin 2013

Beaucoup d’échos avec mon propre univers dans ce livre. J’ai adoré le processus de surprise, car la forme est tout de même un peu déstabilisante, puis au fur et à mesure qu’on avance on est pris dans le tourbillon et on ne se pose plus de questions... Tout le passage dans Fluxus a été éprouvant pour moi, épidermiquement réaliste... Bravo !!!

MNA, 5 janvier 2015

Ce livre me quitte pas depuis six mois : profond, vrai, bourré d’espoir, je m’y appuie et développe une allergie féroce aux divertissements de masse, aux produits culturels qui nous endorment. Vive les arts qui nous réveillent et nous appellent à l’action dans ce monde si complexe.

Renaud Guérit, 13 novembre 2015

J’ai adoré ce roman. L’auteur est une héritière directe de Rousseau. J’y ai trouvé des clefs, ça m’a fait alchimiser, relier, remettre en perspective toute l’actualité. C’était sûrement de l’anticipation quand ça a été écrit mais à le lire aujourd’hui ce roman c’est maintenant et c’est presque plus une fiction, les Refusants, les Nuits Debout, les alternatives, il y a tout et c’est juste magnifique. Merci.

Sylvain Bosc, juin 2016

J’ai bcp aimé ce livre et notamment les témoignages de la fin avec les Sans Nous. La poésie et la fluidité de l’écriture aussi.

Blandine Printemps, 16 janvier 2017

Un roman étrange, troublant, inclassable et c’est ce qui fait sa richesse. Des parcours de vies, des personnages engagés ou perdus, l’importance considérable de la Nature, tous les dangers que les hommes font peser sur son maintien, toutes les valeurs humaines les plus profondes, toutes les perditions d’un monde urbain où les individus se perdent, le retour à la terre, l’amour infini des êtres qui ne répondent pas aux mirages de la croissance matérielle mais qui portent en eux les traditions les plus respectables, celles qui ne portent pas atteinte à la Vie, le regard inquisiteur du Pouvoir, son discours sécuritaire quand il ne s’agit que d’une enceinte carcérale, les mirages du Progrès quand il n’est que l’effacement des libertés, la main mise des Puissants, des multinationales et de leurs intérêts destructeurs...
Il y a dans ce livre des phrases terriblement percutantes que tout le récit vient appuyer. Tout est là, dans une écriture très riche, émotionnelle, visuelle, aimante, sensible, celle d’une femme dont on sent que les réflexions l’entraînent dans des espaces qu’on ne peut qu’aimer.
Oui, il s’agit bien d’un texte qui laisse des traces, qu’il faudra relire car le foisonnement d’idées ne laisse pas place à la futilité de cette littérature fadasse qui nous environne, un livre qu’il faudrait diffuser... A partager sans modération.

Thierry Ledru, 3 août 2014

Drôle de livre. Trouvé par hasard, hors normes. C’est une histoire mais pas vraiment, comme une frontière entre ici et là-bas, maintenant, hier et demain, une vision certainement, ça se déploie. On dirait que ça part dans tous les sens mais en fait non, c’est comme un ensemble vivant, organique, ça nous tend un miroir, en fait ça m’a beaucoup décalé. On suit des veines qui traversent à la fois l’Histoire et des histoires singulières et à la fin on arrive quelque part, dans un lieu plus que dans un dénouement. On reconnaît des événements (Bhopal je crois), des lieux (Cuba ?) mais notre attention est attirée par autre chose tout le temps, par la vie en fait. Il se dégage de ce roman une énorme énergie de vie. On a dit "la littérature à l’estomac", je me souviens plus qui, là je dis qu’elle vient et va au cœur. Par des aspects ça m’a fait penser à Philip K. Dick aussi.

Martin Matin, 9 oct. 2013

Il faudrait qu’il y ait plus de livres comme celui-ci ! Très touchée par cette histoire totalement actuelle et universelle. Si beaucoup de gens pouvaient le lire ça accélérerait la prise de conscience en responsabilisant davantage les gens par rapport à ce qui se passe. C’est une écriture forte et un style très particulier.

Anna Cantavenera, 9 août 2013

Qu’est-ce qui se passe dans cette maison d’édition hors des clous ? Je viens de terminer ce bouquin... Génialissime ! Rock the show Eva Wissenz !! Comment ça se fait que ce bouquin est pas partout dans les librairies, les salons, tout ??

M.R., 2 mars 2016

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