Ce livre est en cours de ré-édition.
Ce livre est le carnet de voyage d’une femme placée en position de maîtresse et qui le refuse... ou comment ne pas entrer dans une relation amoureuse faussée en s’appuyant sur le goût du vrai et la beauté.
Elle est voyageuse. Florence et la Toscane alentours, c’est le territoire qu’elle parcoure. Le regard amarré aux toiles peintes qui s’offrent, généreuses, sur les murs des églises et des musées. On pourrait croire qu’elle ne s’intéresse qu’à cela... Des reflets, des images, le parcours d’Andrea del Sarto, les couleurs de Pontormo, le chemin de Marie-Madeleine. Ailleurs, au bord de la mer, il y a ce marin qui vit dans l’ignorance de cet amour. Peu à peu, le refus d’adultère s’amorce comme un passage d’éveil en découvrant une Toscane marine où la terre et ses œuvres vives font écho à l’océan.
Poche — 134 p. — 9 €
Avis de lecteurs :
"Comme a dit quelqu’un dans un autre avis : c’est l’anti-drame chéri !!! Tout sauf je me regarde souffrir et j’aime ça. Comment écrire que l’amour de la vie dépasse l’amour d’un homme ? J’ai adoré la dynamique du livre, l’intimité puissante avec les lieux, les paysages, la nature, où se déploie tout son amour, un amour qui dépasse complètement cette histoire à mon avis." Martin C. 8 Nov. 2016
"J’adore l’Italie et la Toscane en particulier. J’ai été saisie par la beauté de ce regard, la force et l’amour de cette femme, comme elle essaie de toutes ses forces (et réussit) à ne pas tomber dans une relation triangulaire, tout en retenant précieusement dans son coeur toute la joie que cet amour avait offerte. C’est très très touchant comme elle s’en sort par le voyage, la route, et la contemplation des peintres, son enquête avec Pontormo. Je crois que les femmes amoureuses d’un homme ’pris’ ailleurs devraient le lire au lieu de se complaire dans leur drame et leur frustration. Je parle pour moi en fait, parce que j’ai aussi aimé un homme pris..." Mélanie R. 12 Sept. 2014
"C’est assez inattendu de présenter la Toscane comme une terre maritime et ça m’a bien plu. Avec un amour pareil, finalement, on le plaint ce marin de ne pas plonger... Mais c’est peut-être sa nature : un marin ne devrait être aimé que comme ça, très fort et de très très loin... Qui sait ?" Laure B.D, 1er Février 2014
"C’est l’anti-Bovary, l’anti-drame chéri, l’anti-complaisance ! Elle veut clairement vivre libre, en dehors des hommes, de son marin, qu’elle aime et pourtant elle n’en veut pas puisqu’il ne veut pas vraiment d’elle, et comme elle a un univers ultra-riche ça donne un très beau et insolite voyage dans la cartographie amoureuse." T. M., 23 Avril 2013
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