Difficile de parler de ce livre tant il dégage un charme étrange.
Un vrai bonheur.
Quelque chose comme un peu de poussière d’or qui vous resterait sur les doigts.
Une émotion un peu forte... et la femme-nuage s’espace, s’allège et disparaît.
Jamais rassasié, le Dévorateur avance sans pitié, las des méfaits et horreurs des humains.
Du haut de ses montagnes, le géant rapetisse, entortillé autour de l’égoïsme cruel d’une jolie fille.
Trois contes magiques et durs nous posent des questions directes, l’air de rien, sur notre rapport au monde, à la vie, à nous-mêmes.
Pas d’appel, pas de revendication ni d’explication, juste... un nuage, et tout est dit.